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Article: MANIFESTE APICIA, CES 10 INGRÉDIENTS EXCLUS DE NOS PRODUITS

MANIFESTE APICIA, CES 10 INGRÉDIENTS EXCLUS DE NOS PRODUITS

Chez APICIA, l'apithérapie est bien plus qu’une façon naturelle de prendre soin de soi. C'est une philosophie de vie qui nous amène à réfléchir plus largement sur ce que nous mangeons et sur ce que nous mettons sur notre peau.

 APICIA s'engage donc à développer des produits 100% naturels, certifiés BIO par ECOCERT, hautement concentrés en principes actifs, testés sous contrôle dermatologique.

Si notre vision de la beauté responsable ne se résume pas à des produits interdits, notre éthique et notre volonté de transparence à votre égard nous invitent à nous positionner en excluant certains ingrédients encore polémiques aujourd’hui quant à leurs effets néfastes sur la santé.

 

  1.  Les silicones dits « cycliques»


    Tels que le cyclomethicone, le cyclotetrasiloxane, le cyclopentasiloxane, ou le cyclohexasiloxane) Ils sont principalement utilisés pour donner de la « texture» à un produit, faciliter son application, améliorer sa tenue d’un produit de maquillage, ou encore stabiliser des actifs pointus (comme le rétinol ou des peptides par exemple). Outre leur effets néfastes sur l’environnement, des études ont montré leurs potentiels effets cancérigènes, mutagènes et toxiques pour le système reproducteur.

 

  1.  Certains filtres minéraux


    Tels que l’homosalate et le benzophénone, souvent présents dans les produits utilisant un SPF. Ils sont actuellement en cours de réévaluation, la suspicion portant sur leur répercussion vis-à-vis du système endocrinien.

 

  1.  Les parabènes


    Utilisés pour la conservation des produits, ils sont remis en cause depuis 2004 depuis une étude mettant en lumière leur potentiel cancérigène, allergisants et œstrogène-like, c’est-à-dire, mimant l’effet de certaines de nos hormones. Si certains, dits à « chaîne longue» sont interdits en France depuis 2014, d’autres, comme le butylparaben et le propylparaben restent autorisés alors qu’ils sont considérés comme de forts probables perturbateurs endocriniens.

 

  1.  Le BHA (Butyl Hydroxy Anisole) et le BHT (Butyl Hydroxy Toluène)


    Ce sont des antioxydants connus pour protéger les huiles du rancissement. Ainsi, on les retrouve souvent dans les produits riches en corps gras, comme les crèmes onctueuses ou les rouges à lèvres. Cependant, tous les deux sont suspectés d’être de forts perturbateurs endocriniens, identifiés même comme cancérigènes par le CIRC (Centre International de recherche contre le cancer).

 

  1.  Le MIT (methylisothiazolinone), et le MCIT (methylchloroisothiazolinone )


    Ce sont des conservateurs très sensibilisants et de grands allergènes, présents dans de nombreux produits, parfois même affichant la mention « peau sensible», « hypoallergenique», ou encore « tester dermatologiquement ». Notons également dans la gamme des conservateurs à haut risque le phenoxyethanol, notamment pour les femmes enceintes et les tous petits.

 

  1.  Les sulfates


    Tels que le sodium lauryl sulfate, ou l’ammonium lauryl sulfate, utilisés pour leurs propriétés tensio-actives, c’est-à-dire, d’agent lavant dans de nombreux produits. Ils sont pourtant hautement irritants et sensibilisants.

 

  1.  L’acide salicylique


    Présent dans de nombreux shampooings, il sert de conservateur, d’antipelliculaire, d’agent de protection et de soin des cheveux; dans les nettoyants pour le visage, il peut être exfoliant et anti-acné ; dans les soins du visage, il agirait en lissant le grain de peau et permettrait de masquer rougeurs et imperfections. Malgré toutes ces vertus, il reste un ingrédient à surveiller. Des études sont d’ailleurs en cours pour mettre en avant son rôle de perturbateur endocrinien.

 

  1.  Le dioxyde de titane


    Aussi connu sous le code E171. S’il a été interdit dans l’alimentation depuis 2020 comme cancérigène, il reste présent dans certains produits cosmétiques comme filtre anti-UV, ou colorant de maquillage, mais est également utilisé pour teinter les gélules de certains compléments alimentaires.

 

  1.  Les dérivés éthoxylés (PPG, PEG, polysorbates)


    Ce sont des émulsionnants qui jouent le rôle d’agents de texture, et permettent aux actifs de pénétrer à l’intérieur des cellules. Certains sont aussi humectants, c’est à dire qu’ils retiennent l’eau et qu’ils préviennent du dessèchement. Si aucune problématique santé n’a encore été avérée, leur impact écologique est loin d’être neutre, notamment dans le processus de fabrication, c’est pourquoi APICIA a décidé de les écarter de la liste de composition de ses ingrédients.

   

  1.  Les huiles minérales

Dérivées de la pétrochimie, les huiles minérales sont purement synthétiques, et sont utilisées pour leur propriété occlusive, c’est-à-dire qu’elles forment un film à la surface de la peau afin de limiter sa déshydratation. Nous estimons donc que ces ingrédients n’ont aucune qualité intrinsèque pour notre peau, ce qui explique le choix d’APICIA de les exclure de la composition de ses produits.

 

 

           

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